9 janvier 2017 : 10 ans que tu as décidé de partir... le temps passe, mais la douleur reste
Site dédié à Nicole Rolland, gardien de la paix à Reims qui a mis fin à ces jours un 9 janvier 2007 avec son arme de service. Elle était en plus anorexique et n'arrivait plus à remonter la pente. Je t'aime ninou PS : pour laisser un message, il faut cliquer sur la ligne commentaire qui est sous chaque photo, et de se laisser guider
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lundi 9 janvier 2017
jeudi 21 avril 2016
avril 2016, conférences à la Réunion pour ouvrir nos cœurs ouvrir nos âmes. Le monde n'est pas beau, le monde est difficile mais il est et il faut faire avec pour trouver dans ces méandres son chemin de vie.....Je t'aime éternellement, mon âme est toute à toi et à ceux que j'aime, et j'attends le moment pour retourner à la Maison. t'aime si fort ma puce
dimanche 11 janvier 2015
mercredi 8 janvier 2014
TRISTE JOUR, 7 ANS APRES!!!!!!!!
Triste rappel de ce "fichu" jour du 9 janvier 2007 où tu as décidé de partir loin, très loin. Loin de nous, loin de nos bras, éternellement......
ce sourire si radieux... sourire si rare....
lundi 7 octobre 2013
mercredi 9 janvier 2013
dimanche 7 octobre 2012
dimanche 9 janvier 2011
SOUVENIR; 9 janvier 2007
vendredi 24 décembre 2010
"NOEL 2010" sans toi, mais dans notre coeur
jeudi 7 octobre 2010
28 ans aujourd'hui
mercredi 22 septembre 2010
ENVIE DE VOIR UN SOURIRE
vendredi 8 janvier 2010
3 ans.....triste jour mémoire de ton départ volontaire
(dernière photo de Noël 2006, déjà si amaigrie.......et non reconnaissable)
9 janvier 2007 (petit matin)... à cette heure de la nuit tu avais déjà décidé de mettre fin à ta vie... que ne donnerais-je pour pouvoir changer le cours de la vie et te souffler : Non reste avec nous, puise en nous la force de rester dans ce monde.. On ne revient jamais en arrière, désir impossible et maintenant continuer à regarder devant, mais avec toi à nos côtés mais si impalpable..... Tu restes et vis dans nos coeurs de ta famille et de tout ce qui t'ont aimé ici et continuent à penser à toi mon coeur.. Je t'aime. Ta moune
9 janvier 2007 (petit matin)... à cette heure de la nuit tu avais déjà décidé de mettre fin à ta vie... que ne donnerais-je pour pouvoir changer le cours de la vie et te souffler : Non reste avec nous, puise en nous la force de rester dans ce monde.. On ne revient jamais en arrière, désir impossible et maintenant continuer à regarder devant, mais avec toi à nos côtés mais si impalpable..... Tu restes et vis dans nos coeurs de ta famille et de tout ce qui t'ont aimé ici et continuent à penser à toi mon coeur.. Je t'aime. Ta moune
mercredi 7 octobre 2009
tu as 27 ans et ta voix éternelle
Tu as 27 ans mon coeur, et maintenant ta voix éternelle. Difficile de ne pouvoir te prendre dans les bras, difficile et inacceptable et si lourd dans la vie, tout cela
mercredi 15 juillet 2009
MON HISTOIRE -LIVRE INACHEVEE
Moi…. vouloir manger !!!!!!!!!!!!!!!!
Qu’est ce que tu recherches en venant ici……… ?
Voilà la phrase type que tous ces psychologues, psychiatres, psychothérapeutiques, n’ont cessé de me demander à la première et toujours dernière rencontre.
Si je le savais au moins….. Mais je n’en suis pas capable et pour cause, ce n’est pas moi qui ai demandé à me retrouver allongée sur ce divan froid, et lisse, que je scrute depuis de longues minutes pour ne pas croiser le regard de cette blouse blanche qui me dévisage en attendant désespérément que je trouve un semblant de réponse à cette fichue question.
Je dis semblant car j’en ai une vague idée…… idée que je refuse d’affronter et pour laquelle on m’a poussé à me retrouver coincée entre quatre murs et cette maudite blouse blanche…. Je ne mange plus. Oui, je crois que c’est ça, du moins c’est ce que dit mon entourage, car pour moi, j’ai juste décidé d’entamer un petit régime, de ce que toutes les adolescentes de quatorze ans font, histoire de rentrer dans le dernier pantalon à la mode, taille 34 pour se faire remarquer au lycée. Classique quoi !!
Mais pour moi ça n’a rien à voir avec une question de mode, c’est beaucoup plus complexe que cela et seulement aujourd’hui à 24 ans que j’arrive peu à peu à m’expliquer ce qui m’est arrivé, pourquoi j’ai voulu me tuer, non pas en avalant une boîte de médicaments ou en me jetant du haut d’un pont, mais en entamant un long processus d’autodestruction de mon image, de mon corps et de mon esprit.
Tout a commencé peu avant mes 14 ans et je pense ne s’achèvera vraiment jamais…. Du moins, laissera des traces sinon physiques, psychologiques.
Adolescente rondouillette, remplie de joie de vivre, toujours prête à s’amuser entre copines, à dragouiller puisque période de pic hormonal !!!!!!Je m’étais construit mon petit équilibre entre mes amis, ma passion pour les chevaux, mes études où je m’imaginais déjà monter mon centre équestre, devenir cuisinière, prof des sports, policier…..bref des tonnes de projets et mon petit cocon familial incluant ma mère et ma sœur de 10 mois mon aînée.
Vous noterez qu’il manque un facteur clef de l’équation : le père……….
Et c’est une sacrée clef, car sans nul doute celle qui ouvre la boîte à secrets, qui renferme beaucoup d’amertume, le mais pourquoi ? de je ne suis pas assez « bien », est-ce qu’il m’aime ? A-t-il le droit de rendre ma mère aussi malheureuse, cette femme si belle de cœur…. ?
Cette considération masculine d’un père si important pour construire son image m’a cruellement manqué et je me suis mise à la chercher très tôt chez mes « compagnons de jeux » masculins. Cette attention me rassurait, me valorisait.
J’ai donc toujours été en recherche d’attentions, besoin de me sentir valorisée, reconnue et lorsqu’en milieu d’année scolaire une histoire, d’apparence banale a tout bouleversé, là j’ai commencé à chuter, d’abord en douceur puis en ne cessant jamais de trébucher encore et encore jusqu’à m’écraser contre ce mur que j’avais construit. Une brique pour chaque jour où je me refusais d’affronter la réalité. Cette fameuse histoire, dans laquelle je me suis retrouvée en conflit avec le leader de la classe a provoqué un rejet total de tous mes amis, plus solidaire de ce « petit chef » que de la petite Nicole, la petite rondouillette rigolote. Les jours d’enchaînaient et se ressemblaient en insultes en tout genre, du « ‘t’es qu’une balance d’avoir dénoncer le chef » aux insupportables « grosse vache » et toutes ses déclinaisons dont je vous épargnerais le listing pour cause d’indigestion !!!!!
Début du "journal" de Nicole qu'elle n'a pas voulu finir!!!!!!!!!!!!!!!
mercredi 17 juin 2009
Ma famille, mes chevaux et enfin mon papa que j'ai si longtemps cherché !!
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Voilà mon coeur, la boucle est bouclée. Ton père t'a rejoint en février 2009, parti trop tôt.. parti car trop de souffrance depuis des années,Il t'a enfin trouvé, et vous êtes en paix tous les deux.... pensez à nous ici sur terre, ta soeur et moi qui devons encore faire "avec""" et c'est difficile, mais soyez enfin ensemble.....
Voilà mon coeur, la boucle est bouclée. Ton père t'a rejoint en février 2009, parti trop tôt.. parti car trop de souffrance depuis des années,Il t'a enfin trouvé, et vous êtes en paix tous les deux.... pensez à nous ici sur terre, ta soeur et moi qui devons encore faire "avec""" et c'est difficile, mais soyez enfin ensemble.....
dimanche 15 février 2009
vendredi 6 février 2009
jeudi 29 janvier 2009
vendredi 28 novembre 2008
jeudi 27 novembre 2008
samedi 22 novembre 2008
Ma vie a commencé un 7 octobre 1982
Mon dieu, que tu avais envie de vivre, pressée de venir dans ce monde.... sans savoir que tu n'y ferais qu'un trop court passage. Toujours souriante, et mangeant la vie vite, vite.... J'étais si heureuse de ce deuxième petit bout qui débarquait dans ma vie... et ta soeur si contente d'avoir une petite copine. La vie n'est pas juste, nous avions tant et tant encore d'amour pour toi, ici sur cette terre. Comment faire maintenant ?
mardi 7 octobre 2008
AUJOURD'HUI 26 ANS presque ensemble
Il y a 26 ans, tu te dépêchais de venir au monde et ouvrir grand tes yeux sur tout ce allait faire ta vie. Tu as trouvé autour de toi de l'amour des tiens, ta soeur, ta mère.. tes amis, tes animaux. Tu as eu un début d'enfance heureuse, loin des tracas des humains, à courir après les poules, carresser les chevaux que tu allais voir tous les jours, dormir avec le ou les chats. Toujours sourire, un vrai petit clown, qui partait en forêt me ramener toutes les fleurs possibles et je n'avais plus assez de verres et vases pour accueillir tous ces cadeaux. Aujourd'hui, je voudrais te faire un cadeau, celui de laisser un peu de ma souffrance sur le bord de route pour continuer à avancer avec toi. Bon anniversaire mon coeur.
vendredi 12 septembre 2008
jeudi 11 septembre 2008
TOUJOURS TES AMIS A QUI TU TE CONFIAIS
D'autres moments si vrais pour toi. Les animaux ne jugent pas, et toi tu étais si bien avec eux, si heureuse, mais il reste encore à parler de ta grande dame : TARA, ta jument qui nous a quitté, et qui t'a laissé en grand désarroi... je trouverais des photos de vous deux pour un moment à vous deux seules
MOMENTS HEUREUX D'ENFANCE
T Tout n'était pas triste dans ta vie, et ces quelques moments heureux, te réchaufferont le coeur là-haut. Tu aimais rire, petite fille, et partager avec ta soeur, des moments de grande complicité. Le temps a espacé ces moments de complicité, et tu t'es refermée petit à petit sur toi-même.. Tu étais si loin, et si mal parfois que nous n'arrivions plus à t'atteindre.
mercredi 7 mai 2008
HOMMAGE A MON METIER DONT J'ATTENDAIS TANT
Journées radieuses de Vannes, lors de la cérémonie et fiertè à Reims de porter enfin cet uniforme tant espéré;
Voilà toute mon énergie à réussir dans ce métier. Pourquoi la vie est si dure ? pourquoi dans ce métier attendons nous plus...... et pourquoi, parfois, des désillussions ? Pourquoi tant de misères dans nos interventions auxquelles nous ne sommes pas toujours bien préparées ? Mais y-a-t-i une bonne préparation ? Que faut-il faire pour que stoppent ces 'départs volontaires suicidaires" dans ce métier oh combien magnifique, mais si difficile parfois.......? Nicole n'a pas su ou pu trouver la force nécessaire. Elle a mis tant dans ce métier, qui aurait pu l'aider à retrouver une estime de soi, une envie de servir..... mais le monde est difficile.... et la police est souvent décriée à tort. Difficile aussi de vivre ce quotidien où l'on méestime le monde policier, ou l'on se fait "insulter" où les gens sont si personnels........mais elle était fière de porter cet uniforme, et souhaitait fortement faire carrière. Trop de misères, trop de difficultés personnelles, peur de ne pas être à la hauteur dans ce métier, et elle a décidé de partir "loin, très loin" comme me l'a dit son commissaire de police!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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